En quête d'activité

Début du périple : Sujet "Une soirée ordinaire" de la section "La cafétéria" dans la catégorie "Le Volonia"

Le colonel O'Neill arriva dans la salle d'entrainnement, équipé d'une arme standard de combat rapproché ainsi que deux pistolets. Il avait aussi un équipement de combat, telle les gilets par balles et d'autres accessoires.

Il regarda le programmeur de mission. Il l'ouvrit et il entra la séquence suivante

*Mission O'Neill, tentative de sauver des otages dans la ville, 06/03/200*

O'Neill pesa sur le bouton accepter et il se dirigea vers le stand de tir. Soudain, des hologrames apparurent. Il y avait des soldats avec lui. John les regarda et il leur fit signe de le suivre. Soudain, quelques terroristes apparurent. Facilement, le colonel en tira deux au milieu du front. Il continuèrent à avancer au milieu des rues de la ville. Il se dirigèrent vers le centre commercial, lieu où l'attaque avait commencée.

Furtivement, le groupe entra dans le centre commercial. John vit un homme sortir d'un magasin, pointa son arme vers des civils, sans hésiter, le colonel lui envoya trois balles dans le coeur. Il se devait de semer la pagaille dans les rangs ennemis. Il ordonna à un des soldats de déclencher le système d'incendie et de venir les rejoindre dans la section des restaurants apres. Il laissa deux hommes pour surveiller une porte de sortie.

Le groupe progressait au milieu du centre commercial, pratiquement vide. Soudain, l'alarme de feu se déclencha, ce qui fit faire des cris un peu plus loin dans le centre d'achat.

Rendu à l'origine des cris, John constata qu'il y avait une dizaine d'hommes qui tenaient une trentaine de civils en joue, assis au sol. John fit signe à ses hommes de se disperser et il se rendit sol dans la salle, étant à la merci des terroristes.

Le chef de la bande eut un large sourire en voyant John arriver. Il lui dit:

[PNJ]Chef des terroristes : [/PNJ]

'' Je savais que c'est toi qui viendrait ici. L'armée n'a pas vraiment d'autres hommes. Les autres seraient tombés dans les bombes que nous avons posé pour pièger le batiment''

John leva un sourcil et il déposa son arme au sol. Il regarda dans les civils et il voyait toute la crainte sur les visages. John cherchait le visage de quelqu'un. Il le trouvait et il s'y arreta pour le voir. C'était le visage de la femme de la photo. John lui fit un sourire, mais cette dernière, trop effrayée, ne parvenait pas à lui rendre. John regarda à nouveau le chef de la bande:

''Je ne te donne pas le choix. Rendez-vous, ou bien vous allez tous mourir. Ne soyez pas stupide en jouant les héros, personne n'a à mourir, et encore moins des innocents. Le gouvernement se fiche bien de votre sort messieurs, mais pensez au gens qui y sont''

[PNJ]Chef de la bande: [/PNJ]

''John, tu veux sans doute parler de ce genre de personne la''

Le chef de la bande saisit la femme de la photo par les cheveux et il la mit en face d'elle pour se servir de bouclier humain. Immédiatement, O'Neill sortit ses deux pistolets et il mit en joue le chef avec une arme, et de l'autre, il visait un homme au hasard:

''Laisse la partir, c'est entre toi et moi, elle n'a pas à souffrir pour notre différent, pour ton égo trop énorme et ta soif de pouvoir''

L'arme de John visait directement sur le visage du chef de la bande. Il savait que ses hommes assurait en visant les autres. Devant le moment de silence, O'Neill regarda la détresse de la jeune femme. Ses yeux étaient pétrifié et elle avait perdu son beau sourire de sur la photo. Il baissa les yeux et il remarqua qu'elle était enceinte. John rassembla tout son courage. Ses yeux devinrent rouges, et il renifla un peu

''Je t'aime.... Eléna. Je t'aime, toi et la petite Elizabeth''

Les yeux de la jeune femme s'attendrire. Il commença à faire un sourire lorsque l'homme coupa cette scène

[PNJ]Chef de la bande: [/PNJ]

''C'est trop touchant, mais c'est assez. O'Neill, donnez moi ce que je veux ou bien tout le monde ici y passe, en commença par votre femme''

La colère et la fureur s'installa sur le visage d'O'Neill. Il ne fallait surtout pas lui faire cela. O'Neill fit non de la tête et il s'enligna pour atteindre l'homme de son pistolet.

Le colonel lui répondit:

''Allez au diable avec vos demandes''

Avant de finir sa phrase, le colonel avait déja tiré en direction du chef de la bande. Il fut atteint à la tête par le coup de feu d'O'Neill. Soudaint, une véritable fusillade commença. Des coups de feu partout. O'Neill tourna sur lui même, atteignant les hommes mortellements. Ses soldats avaient eut des cibles en joue et ils leur tiraient dessus aussi.

Le colonel reçu un projectile en plein dans l'épaule. Il ne ressentait pas la douleur. Son regard était plutot maintenant porté sur sa femme, qui ne s'était pas jetté au sol, mais qui était toujours debout, pétrifié par cette situation. O'Neill courut en sa direction, sautant par dessus des civils allongés au sol. Un soldat de son unité sortit de sa cachette et mit sa femme en joue, O'Neill lui tira un balle sur son arme, et dans le coup par la suite. Le soldat tomba raide mort.

Le temps semblait s'être arreté pour O'Neill. Il courait, essayant d'atteindre sa femme. Soudain, une détonation au loin se fit entendre. Sa femme resta figée sur place. O'Neill finit par l'atteindre, mais trop tard. Elle tombait dans les bras du colonel, morte d'une balle dans le coeur.

John s'appretait à lui caresser les cheveux lorsque le programme s'arreta et que la piece tomba dans l'obscurité. Le colonel se releva et il lança ses deux pistolets violemment sur le mur. Il fit un énorme cri et il tomba à genou. Il resta là à réfléchir de longues minutes, voulaient savoir ce qu'il aurait pu faire pour sauver son trésor de la vie